Diégèse


vendredi 18 août 2006




2006
ce travail est commencé depuis 2422 jours (2 x 7 x 173 jours)
et son auteur est en vie depuis 16875 jours (33 x 54 jours)
ce qui représente 14,3526% de la vie de l'auteur
trois cent quarante-six semaines d'écriture
hier

L'atelier du texte
demain










avant le texte
le texte
Puisque les personnages évacuent la violence par le contrat, par le droit, ils pourraient, dès lors, ils pourraient se poser des questions d'esthétique, des questions de couleur. Ils pourraient s'interroger sur la place et le rôle de cette couleur, de la couleur jaune ou de toute autre couleur. Ces questions pourraient faire diversion ou relancer la fiction, leur place dans la fiction et cette dynamique propre au texte.
Noëmie : il n'y a pas de lien contractuel.

Mathieu : il n'y a pas de contrat.

Noëmie : Noëmie frappe Mathieu violemment. Gustav rit.

Gustav : je ne ris pas.

Noëmie : Gustav rit.

Gustav : je ne ris pas.

Noëmie : Noëmie frappe Mathieu une deuxième fois. Gustav rit toujours.

Mathieu : Gustav rit.





après le texte
C'est absurde. Je sens combien c'est absurde. Je sens combien tout cela pourrait se développer si le protocole d'écriture le permettait mais le protocole ne le permet pas, mais le protocole ne le permettra pas, mais le protocole ne le permettra jamais. Ce serait un autre travail. Ce sera un autre travail, dans un autre temps, une autre diégèse, un autre contrat diégétique.










18 août










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Le pouvoir magique de conjuration et d'oubli. Je ne peux tirer de ma pensée aucune autre chose. L'astrologie demeure un mystère flou. Je ne regarde plus que ton absence. À quoi sert le jaune dans la ville ? Tu aurais joué sans peine à tous les espionnages et à toutes les trahisons.