Diégèse | |||||||||
jeudi 14 décembre 2006 | 2006 | ||||||||
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Noëmie est toujours à Venise et le ciel est toujours bleu. Elle n'a rien à craindre de cette vie de Venise, de cette vie de Venise qui ne tente rien. Et la vie de Noëmie comme le rôle de Noëmie ne tentent rien. Il n'y a rien qui se passe, il n'y a rien qui passe et pourtant ce n'est pas négatif, et pourtant ce n'est jamais négatif. | Gustav :
Noëmie a raison.
Noëmie a toujours raison. elle était à Venise. Elle
était bien à Venise. Elle est toujours à Venise. C'est
une voix de Venise. C'est un point de vue de Venise. Mathieu : ce serait métaphorique. Ce n'est pas possible. Ce serait nostalgique. Ce n'est pas possible. Ce serait littéraire et sentimental. Ce n'est pas possible. Noëmie : je suis toujours à Venise. |
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après le texte | |||||||||
Noëmie a raison. C'est bien en insistant, que Venise, que sa présence textuelle à Venise, peut quitter le champ de la nostalgie, le champ de la métaphore et celui du sentimental. Cette voix de Venise, de Venise par insistance, est seulement celle de Noëmie qui dit qu'elle est à Venise. | |||||||||
14 décembre | |||||||||
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Encore un peu de courage. | Parler ici de mes raisons. | Ton bras. | Le ciel sera bleu demain, il n'y a rien à craindre. | Un désir de froid comme on n'en fait plus. | Il faudrait que l'on me force. |