Diégèse


mardi 22 avril 2008




2008
ce travail est commencé depuis 3035 jours (5 x 607 jours)
et son auteur est en vie depuis 17488 jours (24 x 1093 jours)
ce qui représente 17,3548% de la vie de l'auteur

hier

L'atelier du texte
demain
le lieu sur Google-Earth






La littérature
La photographie
Comme une hystérie douce, disait le texte en 2002.
Gustav Mathieu
Noëmie
D.

C'est infini, nous sommes partis.



Nous sommes presque comme ceux qui sont dans la vie. Regarde la ville. Hyderabad est comme les autres villes. La nuit de la ville n'est plus qu'alignements, à jamais.









Il faut chercher la cause des petits traumatismes. Hyderabad : l'alliance des lettres qui composent le mot me laisse imaginer qu'il y aura trop de quelque chose, de tout. Mais je n'ai mangé que de la pizza, remettant à plus tard le texte que je dois absolument écrire, les textes que je dois absolument écrire.
Je regarde les fils téléphoniques. Je regarde les gens qui téléphonent dans la nuit de leur téléphone mobilePersonne ne peut penser que les mots qui traînent le long des lignes téléphoniques et des ondes si courtes qui chauffent les oreilles ne disent autre chose que le babil doux et trouble du désir mêlé au temps. Je ne connais pas le désir.







Comment, en effet, connaîtrais-je que je doute, que je désire, c'est-à-dire qu'il me manque quelque chose et que je ne suis pas entièrement parfait, s'il n'y avait en moi aucune idée d'un être plus parfait par rapport à quoi je reconnaîtrais mes défauts ?











22 avril








2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000


La nuit de la ville n'est plus qu'alignements, à jamais. C'est infini, nous sommes partis. Ceux qui sont dans la vie. Comment, en effet, connaîtrais-je que je doute, que je désire, c'est-à-dire qu'il me manque quelque chose et que je ne suis pas entièrement parfait, s'il n'y avait en moi aucune idée d'un être plus parfait par rapport à quoi je reconnaîtrais mes défauts ? Chercher la cause des petits traumatismes. Hyderabad : l'alliance des lettres qui composent le mot me laisse imaginer qu'il y aura trop de quelque chose, de tout. Personne ne peut penser que les mots qui traînent le long des lignes téléphoniques et des ondes si courtes qui chauffent les oreilles ne disent autre chose que le babil doux et trouble du désir mêlé au temps. Je n'ai mangé que de la pizza, remettant à plus tard le texte que je dois absolument écrire, les textes que je dois absolument écrire.