Diégèse


mercredi 8 octobre 2008




2008
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La littérature
La photographie
Adapazari. Le nom de la ville se suffit à lui même.
Gustav Mathieu
Noëmie
D.

C'est Adapazari qui ne finit pas de grincer le soir et je ne sais pas ce que nous pourrions faire.






Il faut nous enfermer, puisque l'on ne peut plus aimer, puisque l'on ne sait plus.






Je suis fatigué.
Je ne sais plus ce qu'est la fatigue car la fatigue, c'est encore le désir. Je vais seulement attendre que ça passe, encore.





La fatigue et l'absence. L'une est différente de l'autre. Mais c'est curieux comme nous sommes déterminés vers l'absence.








Et tu ne connaîtras ni l'amour ni le voyage. Il n'y a pas de voyage et les miroirs ne reflètent que l'absence d'amour.










8 octobre








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Attendre que ça passe. Je ne sais plus ce qu'est la fatigue car la fatigue, c'est encore le désir. Il faut alors s'enfermer, puisque l'on ne peut plus aimer, puisque l'on ne sait plus. L'une est différente de l'autre. Encore. Adapazari ne finit pas de grincer le soir. Déterminés vers l'absence. Tu ne le connaîtras jamais et les miroirs ne reflètent que l'absence d'amour.