Diégèse | mercredi
23 juin
2010 |
Le texte en continu | |
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2010 | |
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Roland
Barthes - Collège de
France - séance du 1er décembre 1979 « Et s'il y a une donnée originelle de mon désir, que je ne connais pas, de toute manière, elle suppose, je dirais, une vue de l'homme, c'est à dire une métaphysique. » |
Ce que je retiens... (des années précédentes) | ...et ce que j'ai lu, vu ou entendu... et ce que ça fait... | ...puis ce que j'écris. |
Je
retiens que le désir d'écrire, ou plutôt le moteur de l'écriture,
serait un mixte, peut-être au sens que lui donne Bergson, et ce mixte
indémêlable serait celui du désir amoureux et du désir sexuel qui ne
trouverait son assomption, qui ne se dénouerait, que dans l'écriture. |
Ainsi,
pour Barthes, la causalité première du désir d'écrire suppose une
métaphysique. Quelle serait-elle ? Un existentialisme, sans doute,
un
questionnement sur l'être là
et cette métaphysique connaîtrait la transcendance et cette
transcendance, ce serait le désir amoureux. |
La vie s'efface à ton sommeil et je retrouve la fenêtre ouverte. Plus loin, une fumée en panache n'annonce rien de la peine du désir de ton corps endormi. |