Diégèse




dimanche 23 septembre 2018



2018
ce travail est commencé depuis 6841 jours (6841 est un nombre premier) et son auteur est en vie depuis 21294 jours (2 x 32 x 7 x 132 jours)
ce qui représente 32,1264% de la vie de l'auteur trois mille quarante-deux semaines de vie
hier



L'atelier du texte demain





Les livres de 2018
J'ai dessiné autrefois 266



Constant est un artiste connu pour ses installations minimalistes qui figurent dans les collections des plus grands musées comme dans les collections particulières les plus prestigieuses. Constant est un artiste aimé de la critique et des professionnels du monde de l'art. Il est représenté par les meilleures galeries internationales et il serait difficile d'imaginer une foire d'art contemporain sans pouvoir y dénicher une pièce de lui. Un magazine spécialisé a même titré un jour : « Le nouveau Duchamp ». Alors qu'il vient d'acquérir un atelier encore plus grand, il ouvre une caisse que lui a léguée sa mère, morte quelques mois auparavant. Ce qu'il y a dans cette caisse va bouleverser sa vie d'homme et surtout sa vie d'artiste : ce sont ses dessins d'enfant. Et Constant trouve que l'enfant qui a dessiné ainsi pour sa mère a peut-être été trahi par l'adulte et l'artiste qu'il est devenu.
Mathieu Diégèse, historien de l'art et écrivain d'une très grande sensibilité, à travers le personnage de Constant, derrière se cachent sans aucun doute, non pas un mais de très nombreux artistes ayant dépassé la soixantaine, décrit ce qu'il croit bien être un tournant radical de l'art de notre temps, de ce temps qui est encore à venir.
Mathieu Diégèse










23 septembre







2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000
un secret bien gardé J'ai dessiné autrefois Je n'oublie jamais que c'est l'automne. un texte utilitaire les applaudissements entre les sens et la raison hétéronymes de Pessoa la frontière bulgare quelques mots et quelques lumières être entièrement seul


2017
2016
2015
2014
2013
2012
2011
2010


immédiatement Le bête nous apparaît toujours comme irréel. les branches du mûrier Ces saisons qui s'alignaient à leur porte penser tout le temps à l'automne je ne me souviens de rien la vulgarité de l'ensemble sa posture