Diégèse


mardi 2 janvier 2001




2001
ce travail est commencé depuis 368 jours (24 x 23 jours)
et son auteur est en vie depuis 14821 jours (14821 est un nombre premier)
ce qui représente 2,4830% de la vie de l'auteur

hier

L'atelier du texte
demain












Comme le temps passe : 2001 = 2000 + 1










Je n'ai pas de photos du bois de Vincennes.
Le 2 janvier 2000 était un dimanche et je croyais alors que c'était le début d'un nouveau siècle alors que je commençais seulement à entamer le long récit de fins, de fermetures et d'impasses. Le texte marque les signes de la tempête, les arbres renversés dans le bois de Vincennes, l'exacte émotion des promeneurs, consternés devant le bois dévasté. De façon évidente, presque facile, c'est déjà la dévastation de l'amour qui prévaut et répond au paysage mi urbain mi bucolique du bois enserré dans la ville. F. apparaît et disparaît comme si sa présence était probable dans le bois de Vincennes ce jour là. « Quelle est la tempête qui moi m'abat ? » pourrait être le sous-titre de l'ensemble du texte de l'année 2000. Curieusement, alors que le thème de la tempête aurait pu devenir un thème récurent du texte, il n'apparaîtra plus pendant toute l'année alors que l'adjectif « triste » est présent plus d'une cinquantaine de fois.










2 janvier















2000