Diégèse |
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samedi
17 mars 2001 |
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2001 |
ce
travail est commencé
depuis 442
jours (2 x 13 x 17 jours) |
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et
son auteur est en vie
depuis 14895
jours (32 x 5 x 331 jours) |
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ce
qui représente 2,9674% de la vie de l'auteur |
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hier |
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L'atelier
du
texte
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demain
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Comme
le
temps passe : 2001 = 2000 + 1 |
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La
fête passée me donnait la nausée, nous ne voulions
plus danser
et je me rappelle que nous étions partis ensemble et que nous nous
aimions presque et je t'aimais. Je me rappelle les lumières sombres
à la sortie, un peu de rouge, la vie était plus légère
ou elle ne l'était pas. tu venais avec moi et je pouvais sentir
parfois, à quelques
pas plus proches, qui te rapprochaient de moi,
un peu de ce parfum que je croyais définitif et qui n'était
qu'un cadeau sans importance qui allait vite s'épuiser sous les
assauts de l'été. |
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Nogent-sur-Marne
était
pimpante et la maison très accueillante. Je suis arrivé en
sueur, fatigué par la pente et le chemin sous le bois. Au
départ, il faisait moins beau et j'étais fatigué.
Le soir se couche avec moi, quand tu m'appelles et je voudrais déjà
dormir. Je ne vois rien à envier dans les mots que tu me donnes,
puisqu'avec patience tu me gardes et tu m'évites car tu évites
mon désir et tu évites mes peurs. Je
me rappellerai bien combien tu m'as fatigué et tu m'as donné
à douter. Dans le
jour qui s'est donné à rire, qui s'est donné à
penser, où tous les tours de roue m'ont un peu éloigné
de toi et de ta vie qui
parle de tout, de rien, d'autre chose que
de moi. |
17 mars |
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2000 |