Diégèse |
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mercredi
7 juillet 2004 |
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2004 |
ce
travail
est commencé
depuis 1650 jours
(2 x 3 x 52 x 11
jours) |
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et
son auteur
est en vie
depuis 16103
jours (16103 est un nombre premier) |
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ce
qui représente 10,2465% de la vie de l'auteur |
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hier
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L'atelier
du
texte
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demain
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Les
Méditations
métaphysiques de Descartes |
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Je
n'ai en effet aucune raison de me plaindre que Dieu ne m'ait pas
donné
une puissance intellectuelle de connaître plus grande, ou une lumière
naturelle plus grande qu'il ne l'a fait, parce qu'il est de l'essence
d'un
entendement fini que bien des choses échappent à son intellection,
et de l'essence d'un entendement créé qu'il soit fini ; et
il y a lieu de lui rendre grâces, à
lui qui ne m'a jamais rien dû, pour ce qu'il m'a prodigué,
et non de croire que j'ai été privé par lui ou qu'il
m'a dépouillé de ce qu'il ne m'a pas donné. |
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D'une
certaine façon, un commentaire (libre) de Descartes |
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C'est
presqu'une relation amoureuse que, pour la première fois dans Les
méditations, Descartes aborde doucement sans se dévoiler,
une relation amoureuse avec un Dieu, qui comme l'être aimé
ne peut vous avoir dépouillé de ce qu'il ne vous a pas donné. Mais toutes les
histoires d'amour qui, comme dans la chanson, finissent
mal, consistent bien cependant à reprocher à celui qui part,
au séparé, de vous avoir dépouillé de ce qu'il
ne vous a pas donné. Je ne suis privé de rien, il ne me manque
rien, dit le psaume et le Seigneur est mon berger. |
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7 juillet
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