Diégèse


vendredi 9 juillet 2004




2004
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Les Méditations métaphysiques de Descartes

Enfin je ne dois pas non plus me plaindre que Dieu concoure avec moi à former ces actes de la volonté, c'est-à-dire ces jugements, dans lesquels je me trompe : ces actes sont en effet, en tant qu'ils dépendent de Dieu, absolument vrais et absolument bons, et, en moi, il y a en quelque façon une plus grande perfection à pouvoir les former que si je ne le pouvais pas.





D'une certaine façon, un commentaire (libre) de Descartes





De toutes façon, je ne dois pas me plaindre de Dieu car ce serait se plaindre de l'amour de Dieu et et ce serait une grande vanité. Que je me trompe ou que je ne me trompe pas n'a strictement aucune importance, de sorte qu'il n'y a bien que le péché contre l'esprit, le péché contre l'amour, qui soit véritable péché. Pleurer n'est pas un péché. Douter non plus. Mais le désespoir ?










9 juillet













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