Diégèse |
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mardi
16 novembre 2004 |
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2004 |
ce
travail est commencé
depuis 1782
jours (2 x 34 x 11
jours) |
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et
son
auteur est en vie
depuis 16235
jours (5 x 17 x 191 jours) |
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ce
qui
représente 10,9763% de la vie de l'auteur |
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hier
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L'atelier
du
texte
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demain
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Les
Méditations
métaphysiques de Descartes |
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De
plus, les
facultés
de vouloir, de sentir, de connaître, etc. ne peuvent pas être
dites ses parties, parce que c'est
un seul et même esprit qui veut, qui sent, qui connaît.
tout au contraire, je ne peux penser aucune chose corporelle ou étendue
sans qu'il me soit facile de la diviser par la pensée en parties,
et sans que j'aie par là l'intellection de son caractère
divisible. Cette
seule
remarque suffirait à m'enseigner que l'esprit est tout à
fait différent du corps, si je ne le savais pas déjà
assez par ailleurs. |
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D'une
certaine façon, un commentaire (libre) de Descartes |
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C'est
bizarre ce « si je ne le savais pas assez par ailleurs ».
Descartes
saurait
donc des choses en dehors de sa démonstration présente ?
C'est contraire au parti pris des Méditations par lequel il pose
qu'il va réétudier et remettre en cause tout ce qu'il croit
savoir. Ainsi, au détour d'une phrase, par antiphrase, Descartes
livre sa difficulté à penser les liens entre l'esprit et
le corps. Et puis,
la divisibilité de l'esprit, je la connais, moi,
assez par ailleurs, pour pouvoir excuser Descartes de ses frilosités.
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16 novembre
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