Diégèse |
|
|
|
mardi
21 septembre 2004 |
|
|
|
|
|
2004 |
ce
travail
est commencé
depuis 1726
jours (2 x 863 jours) |
|
et
son auteur est en vie
depuis 16179
jours (3 x 5393 jours) |
|
ce
qui représente 10,6682% de la vie de l'auteur |
|
|
hier
|
|
|
L'atelier
du
texte
|
demain
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Les
Méditations
métaphysiques de Descartes |
|
|
J'expérimenterais
en
effet qu'elles survenaient en moi sans
aucun consentement de ma part, au point que je ne pouvais ni sentir
aucun objet, même si je le voulais, s'il n'était présent
à un organe du sens, ni ne pas le sentir quand il était présent
; et comme les idées perçues par les sens étaient
beaucoup plus vives et expresses, et même à leur façon
plus distinctes, qu'aucune de celles que je forgeais moi-même en
pleine connaissance de cause en méditant, ou que je trouvais imprimées
en ma mémoire, il me semblait qu'elles ne pouvaient procéder
de moi-même ; elles
ne pouvaient donc survenir que du fait de certaines autres choses.
|
|
|
|
|
|
|
D'une
certaine façon, un commentaire (libre) de Descartes
|
|
|
|
|
|
Ainsi,
c'est le caractère non volontaire de la sensation qui inquiète
Descartes. Et pourtant, la confiance qu'il met dans la volonté de
la pensée, jusqu'à démontrer mathématiquement
l'existence de Dieu, lui qui dépasse l'idée de démonstration,
de volonté même, cette confiance est démesurée
si l'on considère la nécessaire humilité dans laquelle
notre condition d'homme nous plonge et parfois même nous engloutit.
Descartes reconnaît la clarté de ce qui lui parvient
des sens, le
caractère implacable de la sensation, mais d'autres
sages que lui se lanceront sur les pistes de la méditation qui empêche
de souffrir, mais
Descartes n'est pas mystique.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
21 septembre
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2003 |
2002 |
2001 |
2000 |