Diégèse | |||||||||
mardi 12 décembre 2006 | 2006 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 2538 jours (2 x 33 x 47 jours) | et son auteur est en vie depuis 16991 jours (13 x 1307 jours) | ||||||||
ce qui représente 14,9373% de la vie de l'auteur | |||||||||
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du
texte |
demain | |||||||
avant le texte | le texte | ||||||||
Est-ce que je pense
que
les personnages peuvent encore m'étonner ? Est-ce que je pense
que
les personnages sont encore là, encore vraiment là, encore
dans le texte donc encore à venir ? Et pourtant je les aime encore, ces personnages et les aimant encore ils sont encore en devenir. J'aurais aimé qu'ils sortent, qu'ils sortent sous la pluie. Et puis un jour, les choses basculent. |
Gustav : c'est peut-être
que le désir ne peut pas être enfermé. C'est peut-être
que le désir ne peut pas s'enfermer. C'est peut-être qu'il
lui faut le vent, qu'il lui faut la pluie, qu'il lui faut des
paysages. Noëmie : et pourtant nous avons essayé et je pourrais reprendre nos phrases et nos propres mots, et je pourrais reprendre ces situations et je pourrais retourner à Venise. Je pourrais être vénitienne. |
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après le texte | |||||||||
Avec la fin annoncée vient aussi la nostalgie, revient la nostalgie, comme s'il ne pouvait y avoir de fin à un texte que romantique, comme si la fin du texte ne pouvait être que dans une pose romantique. Mais les personnages resteront non finis. Je souhaite que les personnages ne se finissent pas. | |||||||||
12 décembre | |||||||||
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Et puis un jour, les choses basculent. | J'ai cru qu'il était de mon devoir de tenter quelque chose sur ce sujet. | L'inquiétude. | Le paysage va s'endormir mouillé. | L'immobilité de ton amour. | Je ne m'attends plus à rien. |