Diégèse | |||||||||
dimanche 15 octobre 2006 | 2006 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 2480 jours (24 x 5 x 31 jours) | et son auteur est en vie depuis 16933 jours (7 x 41 x 59 jours) | ||||||||
ce qui représente 14,6460% de la vie de l'auteur | deux mille quatre cent dix-neuf semaines de vie | ||||||||
hier | L'atelier
du
texte |
demain | |||||||
Séquence 41 | |||||||||
avant le texte | le texte | ||||||||
Je ne dois pas me laisser impressionner par le début de la semaine, qui est aussi le début d'une séquence. Je reviens aux sources, les matériels des années précédentes et je dois seulement observer ce qui est proposé pour pouvoir m'appuyer sur ces propositions. Mais ce qui est proposé, encore, c'est l'extinction, moins de regard, moins de bruit ou moins de parole et le contrôle du bonheur. Il n'y a que la résille qui peut laisser imaginer autre chose, et ce serait la nuit. | Gustav : je
pars vers les
écrans. Ce sont
de petits écrans. Je
vais être mobile, je vais être
portable. Je vais être transportable. Je suis une vignette de basse
définition. Que
peut-on en conclure ? Mathieu : comme je l'ai déjà remarqué plus haut. Noëmie : Descartes. |
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après le texte | |||||||||
C'est aussi une façon de ne pas commencer, de ne plus commencer, de ne plus rien écrire tout en écrivant, de ne même plus faire semblant de laisser planer un doute sur l'absence ou la présence du sens. | |||||||||
15 octobre | |||||||||
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2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001 | 2000 | |||
Que peut-on en conclure ? | Comme je l'ai déjà remarqué plus haut. | Une résille. | Je ne regarde plus rien. | Des temps et des temps de silence. | Avant le temps du bonheur autorisé et contrôlé. |