Diégèse | |||||||||
mardi 31 octobre 2006 | 2006 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 2496 jours (26 x 3 x 13 jours) | et son auteur est en vie depuis 16949 jours (17 x 997 jours) | ||||||||
ce qui représente 14,7265% de la vie de l'auteur | |||||||||
hier | L'atelier
du
texte |
demain | |||||||
avant le texte | le texte | ||||||||
Il faut parfois laisser tranquilles les personnages, les laisser faire comme ils souhaitent, les laisser faire comme ils veulent et les laisser même ne rien faire et les laisser même se taire ou partir en voyage loin de nous, loin de l'écriture, loin des mots, loin de l'auteur. Il faut alors avoir confiance, il faut croire qu'ils vont revenir. | Gustav : mais
si nous allons
dans le jardin, si nous allons au jardin, personne
ne nous verra, personne ne nous entendra. Mathieu : mais nous sommes allés à Venise et ils nous ont suivis. Gustav : mais nous sommes allés à Venise sans y penser, sans avoir déterminé avant de partir qu'il s'agissait de fuir. Mathieu : mais nous sommes allés à Venise. |
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après le texte | |||||||||
Je ne sais pas la place que prend Venise dans l'imaginaire des personnages. Je ne sais pas la place prise, la place qu'elle pourrait prendre. C'est un ailleurs immobile. C'est un ailleurs disponible, indéfiniment disponible, immensément disponible. C'est l'ailleurs. Je ne sais pas la place que prend Venise et je sais qu'elle prend la place d'images qui ne peuvent pas être décrites. | |||||||||
31 octobre | |||||||||
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Et aussi, il faut. | Composé d'esprit et de corps. | Faire peur. | Une pente rapide. | Je ne sais pas comment cela est venu juste dans le texte. | Je n'imagine pas, je n'imagine plus, je regarde. |