Diégèse |
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jeudi
14 septembre 2006 |
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2006 |
ce
travail est commencé
depuis 2449
jours (31 x 79 jours) |
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et
son auteur est en vie
depuis 16902 jours
(2 x 33 x 313 jours) |
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ce
qui représente 14,4894%
de la vie de l'auteur |
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hier |
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L'atelier
du
texte
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demain
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avant
le texte |
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le
texte |
Il ne
fait jamais vraiment
froid ni jamais vraiment chaud pour des personnages si on ne le dit
pas,
si on ne le dit jamais, si personne ne le dit
et si on ne le dit
pas, si
on ne le dit jamais, il n'y a non plus aucun argument qui puisse conclure
avec nécessité qu'il existe quelque corps. |
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Gustav :
je me souviens
aussi de l'autoroute du Nord sous la pluie. Mais je peux aussi me
souvenir
de l'Autoroute du Nord sous le soleil. Cela n'a pas vraiment
d'importance. Je
peux aussi
ne me
souvenir de rien.
Noëmie : sur
l'écran
de gauche, sur l'un des écrans, l'image de
Gustav a laissé
la place à une autoroute,
une image d'autoroute qui défile.
Mathieu : et sur
mon écran
aussi, mon image a été remplacée par une autre autoroute.
Noëmie : on verra. |
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après
le
texte |
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Ainsi
les personnages ne sont-ils plus vraiment sur le départ mais partis,
bien ou mal partis, mais partis dans ce qui est vraiment le voyage, qui
n'est pas la destination, qui n'est même pas l'image de la destination.
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14 septembre |
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2005 |
2004 |
2003 |
2002 |
2001 |
2000 |
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Est-il
possible qu'une fiction ne prenne pas parti ? |
... aucun
argument qui conclue avec nécessité qu'il existe quelque
corps. |
Te
lier. |
Quelques
pas formés pour une cigarette. |
Il
fait tellement plus froid aujourd'hui. |
Que
fais-tu quand je ne te vois pas ? |