Diégèse |
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mercredi
27 février 2008 |
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2008 |
ce
travail est commencé
depuis 2980 jours
(22 x 5 x 149 jours) |
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et
son auteur est en vie
depuis 17433
jours (32 x 13 x 149 jours) |
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ce
qui représente 17,9040% de la vie de l'auteur |
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hier
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L'atelier
du
texte
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demain |
le
lieu sur Google-Earth
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La littérature |
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La photographie |
Ils
continuent à regarder
Venise de loin, d'un peu loin, mais de pas assez loin pour
ignorer
que Venise est là,
toute proche, prête à bondir de nostalgie. |
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Gustav |
Mathieu |
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Noëmie |
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D. |
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Il
va falloir sortir de la nasse. |
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Pourquoi
se souvenir toujours davantage des ombres que des oiseaux qui essayent
de réveiller le printemps ? |
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Parce que c'est
presque
le printemps, il faudrait parler du printemps ? Mais nous sommes près
de Venise, sur le Lido, et ce n'est pas le printemps, et nous sommes en
recherche, et nous sommes à la recherche. |
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Qu'est-ce
que
nous cherchons ? Je
ne sais plus qui je cherche et la vie même se dissout dans ce trop
peu de terre. |
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Un
peu de tendresse qui a fait basculer le monde. Nous cherchons ma
souffrance
et Tu
as oublié encore que tu ne gagnais rien à ma souffrance et
que je n'y prenais que des mots. Me
trompe quiconque le peut, jamais cependant il ne fera que je ne sois
rien,
tant que je penserai que je suis quelque chose. |
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Descartes.
Encore Descartes. |
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Il
va falloir sortir de la nasse. Les
personnages, littéralement, ne se disent rien. On peut leur concéder
parfois, juste un peu d'indépendance. |
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27 février |
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Il
va falloir sortir de la nasse. |
Les
personnages, littéralement, ne se disent rien. On peut leur concéder
parfois, juste un peu d'indépendance. |
Pourquoi
se souvenir toujours davantage des ombres que des oiseaux qui essayent
de réveiller le printemps ? |
Me
trompe quiconque le peut, jamais cependant il ne fera que je ne sois
rien,
tant que je penserai que je suis quelque chose. |
Un
peu de tendresse qui a fait basculer le monde. |
Je
ne sais plus qui je cherche et la vie même se dissout dans ce trop
peu de terre. |
Je
regarde les mots qui s'alignent doucement et les phrases qui s'allongent.
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Tu
as oublié encore que tu ne gagnais rien à ma souffrance et
que je n'y prenais que des mots. |