Diégèse


jeudi 31 janvier 2008




2008
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La littérature
La photographie
Ils peuvent désormais se promener à Vigevano et même sous l'allée couverte de la photographie. Ils peuvent se promener. Ils peuvent se promener vraiment. Pour les personnages, j'ai envie de vacances et de vacances, de villes endormies.
Gustav Mathieu
Noëmie
D.
Nous venons avec vous.





Nous venons avec vous.






Nous allons quitter un peu les abords de la place, essayant d'imaginer un Piémont de Dolce Vita, des scooters et des cafés avalés vite, debout, comme en Italie dit-on.






Ils restent ensemble. Ils ne joueront pas, ils ne joueront pas cette fois, le grand mythe de la séparation.
Il n'y aurait pourtant ni péril ni réticence de ma part à ce que nous nous séparions.






Mais dans notre volonté, cette volonté réitérée de rester ensemble, il y a quelque chose de l'espérance et il y a quelque chose du désespoir.















31 janvier








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Vous pouvez entrer. Les personnages jouent et rejouent une séparation, jouent et rejouent la séparation, le grand mythe de la séparation, cette séparation qui n'a de sens, qui ne peut exister, qui contrairement à la cire de Descartes, ne peut exister que si elle est approchée du souvenir, des souvenirs, du feu désespéré du souvenir. Il y a quelque chose de l'espérance et il y a quelque chose du désespoir. Il faut avouer qu'elle demeure ; personne ne le nie, personne ne croit autre chose. Un péril et une réticence. Je me promène dans la ville, quittant peu les abords de la place, essayant d'imaginer un Piémont de Dolce Vita, des scooters et des cafés avalés vite, debout, comme en Italie dit-on. Je me livre au jeu pour ne pas m'ennuyer davantage. J'ai envie de vacances et de vacances, de villes endormies.