Diégèse


dimanche 16 mars 2008




2008
ce travail est commencé depuis 2998 jours (2 x 1499 jours)
et son auteur est en vie depuis 17451 jours (32 x 7 x 277 jours)
ce qui représente 17,1795% de la vie de l'auteur
deux mille quatre cent quatre-vingt-treize semaines de vie
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La littérature
La photographie
Les mots de la fin de l'hiver sont des mots de fin d'hiver. C'est assez littéral mais c'est ainsi. C'est très littéral mais c'est comme cela. Que sont les mots de fin d'hiver ? Ce sont toujours les mêmes mots. Je suis comme les personnages, je rêve de cris et de feu.
Gustav Mathieu
Noëmie
D.
Encore la mer. Fregene étale les plages frileuses et le temps s'épanouit dans une dolce vita trop rance. Est-ce que nous allons rester toujours en Italie ?
Qu'est ce que nous allons faire ?






Il peut s'agir tout aussi bien de susciter des surgissements insensés au cœur de la ville que de proposer une longue promenade calme pour apaiser une journée mouvante.



Mes yeux palissent et mes traits se tendent. Je rêve de cris et de feu. Ce n'est plus le temps, ce n'est plus le temps de rien, ce n'est plus le temps de ça.









Plus personne n'oserait alors rêver de batailles. Il n'y a pas plusieurs violences.



La violence... Il s'ensuit que j'existe.






Parfois.










16 mars








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Ce n'est plus le temps, ce n'est plus le temps de rien, ce n'est plus le temps de ça. Il peut s'agir tout aussi bien de susciter des surgissements insensés au cœur de la ville que de proposer une longue promenade calme pour apaiser une journée mouvante. Mais il n'y a pas plusieurs violences. Il s'ensuit que j'existe. Plus personne n'oserait alors rêver de batailles. Fregene étale les plages frileuses et le temps s'épanouit dans une dolce vita trop rance. Mes yeux palissent et mes traits se tendent. Je rêve de cris et de feu.