Diégèse |
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mercredi
3 septembre
2008 |
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2008 |
ce
travail est commencé
depuis 3169
jours (3169 est un nombre premier) |
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et
son auteur est en vie
depuis 17622
jours (2 x 32 x 11 x 89 jours) |
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ce
qui représente 17,9832% de la vie de l'auteur |
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hier |
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L'atelier
du
texte
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demain
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le
lieu sur Google-Earth
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La littérature |
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La photographie |
Nous
ne saurons jamais rien de Freyming-Merlebach
en Moselle.
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Gustav |
Mathieu |
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Noëmie |
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D. |
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Il
y a pourtant tant de mots à écrire, tant d'histoires à
raconter, tant de moments à relater. Il y a par exemple, ce moment
délicieux qui raconte que le soir de la ville commence et que si
l'on veut, ce moment-là peut se dilater pendant toute la nuit, dans
un désir de ne jamais finir. |
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Il
y a les villes que l'on peut raconter. Ce soir, ici, à Freyming-Merlebach
en Moselle, les
rues défilent d'une façon nouvelle. Je
suis plus proche des odeurs de la ville et cela va un peu lentement et
j'ai un peu peur, encore un peu peur, toujours. Je distingue à
peine les lampadaires après
la modération de métal des câbles. |
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Je
ne sais pas de quelle ville il s'agit, on ne sait pas, je ne sais pas
de
quelle ville il s'agirait. Mais
maintenant je peux avoir d'innombrables connaissances tout à fait
certaines. sur beaucoup
d'autres choses, qui, dès lors, pourraient
aussi être racontées. |
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Il
n'y a pas d'histoire à raconter. Vous
savez cependant de quel texte il s'agit. Il n'y a jamais
d'histoires
à raconter. Les
journaux le notent. Sans jamais cesser d'en inventer. |
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3 septembre |
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Je
ne sais pas de quelle ville il s'agit, on ne sait pas, je ne sais pas
de
quelle ville il s'agirait. |
Vous
savez cependant de quel texte il s'agit. |
Les
journaux le notent. |
Mais
maintenant je peux avoir d'innombrables connaissances tout à fait
certaines. |
Après
la modération de métal des câbles. |
Je
suis plus proche des odeurs de la ville et cela va un peu lentement et
j'ai un peu peur, encore un peu peur, toujours. |
Les
rues défilent d'une façon nouvelle. |
Moment
délicieux qui raconte que le soir de la ville commence et que si
l'on veut, ce moment-là peut se dilater pendant toute la nuit, dans
un désir de ne jamais finir. |