Diégèse | Le texte en continu | ||||||||
lundi 9 août 2010 | 2010 | ||||||||
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« Comment
peut-on cesser d'écrire ? » Roland Barthes - Collège de France - séance du 8 décembre 1979 |
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Ce que je retiens... (des années précédentes) | ...puis ce que j'écris. | ||||||||
Je ne retiens presque rien, si ce n'est le sommeil qui, l'été, semble avoir une qualité particulière, de nuits chaudes ou fraîches, sommeil lourd ou léger, mais marqué par l'été comme concept. | Je
ne me souviens pas bien. J'invente le souvenir. |
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...et ce que j'ai lu, vu ou entendu... et ce que ça fait... | |||||||||
Est-ce
que Barthes se pose vraiment la question de cesser d'écrire ?
Est-ce
pour le seul besoin du cours qu'il feint de se la poser ? Est-ce une
coquetterie ? Dès lors que le désir d'écrire peut-être défini comme « manie », cesser d'écrire s'impose pour aller contre la manie. Écrire est une addiction dont il n'est pas prouvé qu'elle tue même si tous les écrivains finissent par mourir. Est-il d'ailleurs possible de mourir d'écrire ? Sans doute. Il faudrait rechercher des exemples. |
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9 août | |||||||||
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Venise est le réceptacle de la mémoire de ce monde, une mémoire littéraire un peu compassée, un peu troublée et qui vit doucement l'absence de son absence. | Le temps, l'espace, la nostalgie... | Car le problème des personnages réside bien dans la volonté de vouloir, dans la possible volonté de vouloir et non dans ce qu'ils veulent, dans ce qu'ils pourraient vouloir. | ... l'angoisse contenue, le cœur qui bat cognant et le sommeil revient, apaiser, choisir la vie. |