Diégèse | Le texte en continu | ||||||||
jeudi 29 avril 2010 | 2010 | ||||||||
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« Et, en un sens,
l'expérience du ténu est une expérience du grand, une
majoration non une futilisation. » Roland Barthes - Collège de France - séance du 3 mars 1979 |
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Ce que je retiens... (des années précédentes) | ...puis ce que j'écris. | ||||||||
« Le corps du texte »... c'est presque un jeu de mot tant le texte cherche avec insistance à se substituer par le souvenir, par le travail du souvenir, au corps et même au souvenir du corps. Car il y a l'anamnèse et il y a le texte, qui n'est pas qu'un précipité d'anamnèse, qui gagne son autonomie et que l'on peut toucher, et que l'on peut caresser et que parfois, on peut aimer. | Tu
détournes ton visage, tu détournes ton corps. Tu épuises ton image avant de disparaître dans l'impatience, dans la vie. |
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...et ce que j'ai lu, vu ou entendu... et ce que ça fait... | |||||||||
Faire l'expérience du « ténu, » c'est faire l'expérience du « grand » dit Barthes. C'est ainsi que l'écriture du ténu peut se déployer dans les milliers de pages de La Recherche du temps perdu ou se « précipiter » dans la forme non divisible du haïku. Je tente ici l'expérience du ténu dans une forme nouvelle, technologiquement hypertextuelle - mais La Recherche est aussi un hypertexte - mais une forme, surtout, qui ne commence pas et qui ne finit pas, une forme insistante mais diluée et qui incorpore la futilité à la nécessité. | |||||||||
29 avril | |||||||||
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... il n'y a plus que les corps, et il n'y a plus, presque plus, parfois presque plus de texte. | Je vais vous raconter l'amour et la fin de l'amour. | Le temps en mouvement, la vie en mouvement, et le monde. | Je ne me rappelle plus vraiment ce que l'on peut faire de la nudité, d'un peu de sueur qui vient et qui part. | Dans le mythe de notre amour... | La fin de journée a été douce. |