Diégèse | texte en continu | ||||||||
jeudi 16 décembre 2010 | 2010 | ||||||||
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« Les
métaphores sont
l'une des choses qui me font désespérer de la littérature. »
(citant Kafka) Roland Barthes - Collège de France - séance du 12 janvier 1980 |
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Ce que je retiens... (des années précédentes) | ...puis ce que j'écris. | ||||||||
C'est à partir de ce jour d'aujourd'hui, même jour chaque année que je décide, que je dois décider ce que sera désormais dans quinze jours et pour toute une année le protocole de l'écriture de cet hypertexte. Alors je vais décider. Mais le moment de source, ce par quoi l'écriture viendra, ce moment premier est extérieur au protocole. Il est même extérieur au projet et à la forme de l'écriture. Il est notre mystère, qu'il soit écrit ou non, prophétisé ou non, désormais. | Ce soir et ce sera brusque et brusque désormais tu seras la nuit devenue. | ||||||||
...et ce que j'ai lu, vu ou entendu... et ce que ça fait... | |||||||||
Kafka a raison. Les métaphores sont à désespérer de la littérature. Il y a le stade où l'on pense, où l'on croit qu'il sera possible de les éviter, de les éradiquer du texte. Mais elles reviennent. Puis il y a le temps où les métaphores dominent le texte, quand on a cédé, quand la métaphore est entièrement dans la place, quand l'écriture même est une métaphore. | |||||||||
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16 décembre | |||||||||
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J'ai frôlé l'autobiographie. | Entre l'oubli et la mémoire, il y a le souvenir. | Je sens que ce sera difficile. | ... les
ignorants pèchent
plus souvent en approuvant les choses fausses, quand ils veulent
paraître
les entendre, qu'en réfutant les choses vraies... (Descartes)
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... avec le vrombissement dans les têtes... | Mais le bruit se défaisait lentement à mesure que j'avançais dans la nuit. | ... et tu parlais doucement et je te répondais fort et tout le monde nous entendait cependant. |