Diégèse | |
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jeudi 8 décembre 2011 | |
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2011 | ||||
ce travail est commencé depuis 4360 jours (23 x 5 x 109 jours) | et son auteur est en vie depuis 18813 jours (3 x 6271 jours) | ||||||||
ce qui représente 23,1755% de la vie de l'auteur | |||||||||
hier | |
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L'atelier du texte | demain | |||
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Ce qui s'écrit | |
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La maxime du jour | Il y a diverses sortes
de curiosité : l'une d'intérêt, qui nous porte à désirer d'apprendre ce
qui nous peut être utile, et l'autre d'orgueil, qui vient du désir de
savoir ce que les autres ignorent. François de La Rochefoucauld - Maximes |
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Noëmie | Il n'y a rien si ce n'est l'hiver qui s'étonne que l'automne ne demeure pas plus longtemps, comme ces hôtes qui ont préparé la fête et dont les convives s'égrènent avant que la nuit ne soit finie. | |||||
Le parti pris publicitaire | |
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Est-ce que
c'est intentionnel ? Où est-ce une irruption du
signifiant, ou plutôt de la polysémie intrinsèque du signifié ? Il s'agit bien d'une publicité pour une lessive en tablettes dont la particularité serait qu'elle fait « flasher » les couleurs. Mais dans le film, il semble bien que celui qui « flashe » sur les deux filles, c'est le physionomiste de la discothèque. Et ce physionomiste est noir. C'est un homme de couleur. Donc ce qui est montré, et donc ce qui est dit, c'est que la lessive fait flasher les hommes de couleur. Le public de la file d'attente, qui n'a rien compris au slogan qu'il semble cependant avoir entendu, n'a retenu que le mot « tablettes » et le jeune homme maigre que l'on entraperçoit dévoile donc, imitant en cela le geste du pervers... ce qu'il suppose être ses tablettes, terme couramment utilisé pour les abdominaux masculins dessinés sinon artificiellement gonflés. Comment dès lors ne pas conclure qu'il y a bien là un jeu de mots, un peu dangereux, sur les tablettes et les couleurs ? |
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8 décembre | |
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2009 | 2008 | 2007 | 2007 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001 | 2000 |
S'il n'a plus de mémoire, il peut se nourrir du rêve... | Je crois que nous n'allons nulle part. | |
Rien ne dit que nous soyons réalistes. | |
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J'avais envie aujourd'hui de voir les feuilles tombées dans le bois de Vincennes, de voir les feuilles encore vertes qui se demandent pourquoi elles sont si seules, mais je n'y suis pas allé. |
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2010 |
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Je retiens qu'il n'y a rien de sérieux dans l'écriture. |