Diégèse




dimanche 31 juillet 2011



2011
ce travail est commencé depuis 4230 jours (2 x 32 x 5 x 47 jours) et son auteur est en vie depuis 18683 jours (7 x 17 x 157 jours)
ce qui représente 22,6409% de la vie de l'auteur deux mille six cent soixante-neuf semaines de vie
hier



L'atelier du texte demain










Ce qui s'écrit

La maxime du jour Il est plus honteux de se défier de ses amis que d'en être trompé.

François de La Rochefoucauld - Maximes

Gustav Sans mémoire biographique, je pourrais tenter d'écrire ma biographie. Car je ne suis pas sans souvenirs... c'est seulement qu'ils ne forment pas de récit. Je vois ainsi un paysage. Je vois des personnes, des silhouettes, des ombres dans ce paysage. Je sais qu'il ne se passe rien. Mes souvenirs sont une succession de tableaux sans suite liés par des impressions fugaces.
Le parti pris publicitaire





Les ficelles de ce film, y compris celles qui jouent sur l'ambiguïté de cet homme qui pleure parce que son jeune employé le quitte, sont évidentes. En revanche, cela n'explique pas pourquoi le scénariste et le réalisateur ont choisi de donner un accent méridional au patron garagiste. Car une scène de séparation avec l'accent méridional évoque instantanément la Femme du boulanger... Mais si je me souviens bien, la femme, justement, elle, revient au foyer conjugal. À moins que ce ne soit Fernandel, mais son image est trop phagocytée par celle du Don Patillo des pâtes, oui mais des pâtes... On restera donc sur la Femme du Boulanger, dans l'espoir que ce jeune ingrat revienne chez son patron qui l'a formé et qui l'aime et qui lui laissera sans doute son affaire quand il partira à la retraite dans son pavillon de Carpentras...

Par ailleurs, est-ce que la publicité est efficace ?

À l'évidence non, car qui pourrait avoir envie d'aller chez ce garagiste suborneur d'apprentis volages ?













31 juillet






2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000

C'est un bon début de chanson.
... ça dit quoi une chanson d'été ?



... et la télévision chuchote des mots inattendus. Quand je sens les odeurs de pin, je pense à l'enfance.









2010









J'y vois un visage qui ressemble au mien aujourd'hui, bouffi de contentement.