Diégèse




dimanche 12 juin 2011



2011
ce travail est commencé depuis 4181 jours (37 x 113 jours) et son auteur est en vie depuis 18634 jours (2 x 7 x 113 jours)
ce qui représente 22,4375% de la vie de l'auteur deux mille six cent soixante-deux semaines de vie
hier



L'atelier du texte demain










Ce qui s'écrit

La maxime du jour La philosophie triomphe aisément des maux passés et des maux à venir. Mais les maux présents triomphent d'elle.

François de La Rochefoucauld - Maximes

Daniel On pourrait croire que le seul vrai texte, celui qui s'approcherait le plus de la vérité du texte, de son principe premier qui est la prophétie proférée, ce serait le poème.
Le parti pris publicitaire





L'exercice est d'emblée paradoxal puisqu'il s'agit de faire de la publicité pour l'absence de publicité, ou plutôt pour l'absence de coupure publicitaire pendant les fictions télévisées.

Le réalisateur choisit alors de pousser le paradoxe en abolissant la coupure pour faire entrer la publicité dans le récit, dans la diégèse de la scène de genre de l'attaque de banque. Et, en effet, cela marche, comme un peu de savon dans un bain moussant, très vite, la publicité détruit le pacte diégétique. L'employée de banque et le bandit se révèlent être ce qu'ils sont, des comédiens, qui oublient leur rôle et le spectateur oublie alors son propre rôle qui est d'accepter, dans le même temps, de savoir qu'il s'agit d'une fiction et pourtant d'y croire.

Ce n'est pas mal vu. Cependant, par là-même, l'annonceur dénonce lui-même que les séries policières se ressemblent toutes, y compris dans la façon de filmer et dans l'allure des protagonistes. Dès lors, la vraie fausse coupure publicitaire fonctionne comme une diversion du récit, plutôt amusante. Et c'est là que le propos se retourne. La coupure publicitaire devient divertissante au milieu de séries policières dont le caractère attendu et répétitif peut provoquer l'ennui.













12 juin






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Après, ce ne sont que des commentaires...


... puisqu'il demande le pourquoi de son abandon...












2010









... un espace tranquillement posé dans la distance de la distance.