Diégèse |
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jeudi 15
novembre 2012 |
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2012 |
ce
travail est commencé
depuis 4703 jours
(4703 est un nombre premier) |
et son
auteur est en vie
depuis 19156 jours
(22 x 4789 jours) |
ce qui représente 24,5511% de
la vie de l'auteur |
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hier |
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L'atelier du
texte |
demain
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Ce
qui s'écrit |
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Mathieu |
Je reviens à Cefalù.
Je
fais un pas puis un autre pas et je ne me rappelle rien d'autre que ce
pas puis cet autre pas. Je regarde le paysage,
qui est aussi le temps qui passe, liés, intimement liés. Dans le matin froid de
l'appel,
je n'entendais plus ta voix. Ce sera désormais toujours Cefalù sans
toi. |
Noëmie |
Je
me souviens de la première fois où je suis venue ici. La ville me disait
qu'il
fallait dénouer le
destin enchevêtré. Mais rien de noué
n'était à dénouer. Le
destin n'est que fantasme. Et
nous sommes toujours le même seul esprit et le même seul corps errant à
Cefalù, parfois. |
Gustav |
Cette
unité de l'esprit serait rassurante, voire consolante, si l'on ne
pouvait quotidiennement faire l'expérience du contraire. Nous
sommes plusieurs et cela nous fait peur. Si je taisais ces
peurs et tout
cela qui ne me dit plus rien, je ne reviendrais plus à Cefalù.
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Daniel |
Je
ne sais pas ce qu'ils racontent mais je crois qu'il faudrait que les
personnages accélèrent. Mais c'est peut-être qu'il n'y a peut-être pas
encore de scénario. |
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15
novembre
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2004 |
2003 |
2002 |
2001 |
2000 |
Il n'y
a peut-être pas encore de scénario. |
La
ville me disait qu'il
fallait dénouer le
destin enchevêtré. |
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Il
faudrait que les personnages accélèrent. |
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Cette
unité de l'esprit serait rassurante, voire consolante, si l'on ne
pouvait quotidiennement faire l'expérience du contraire. |
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Je
reviens à Cefalù. |
... si je
taisais ces peurs et tout
cela qui ne me dit plus rien. |
Dans
le matin froid de l'appel,
je n'entendais plus ta voix... |
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2011 |
2010 |
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Je
fais un pas puis un autre pas et je ne me rappelle rien d'autre que ce
pas puis cet autre pas. |
Je
regarde le paysage, qui est aussi le temps qui passe, liés, intimement
liés... |