Diégèse |
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samedi 20
juillet 2013 |
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2013 |
ce
travail est commencé
depuis 4950 jours
(2 x 32 x 52 x 11 jours) |
et
son auteur est en vie
depuis 19403
jours
(19403 est un nombre premier) |
ce
qui représente 25,5115% de la vie de l'auteur |
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hier
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L'atelier du
texte |
demain |
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Daniel |
Je suis un peu sorti
dans Vannes et j'ai soudain compris. C'est
ensuite que le
récit
s'arrête alors même que vous pensez que
l'histoire va venir. Mais moi je considère qu'il
n'est pas utile de connaître
l'intrigue. Dès
l'école, la question de l'intrigue dans le récit, dans
la narration, m'avait arrêté et l'esprit de contradiction et
d'expérimentation qui était souvent le mien m'avait conduit à vouloir
imaginer un récit sans intrigue, sans nœud, sans chute. Je sais que
le lecteur prendra alors le risque de
ne pas aller plus loin, de ne pas poursuivre et que je ne peux sans
doute pas lui demander de refuser les
histoires aussi. Mais il y a des personnages
et il y a des lieux à histoires.
Il pourrait donc y avoir des histoires. Le
lecteur ne sera jamais
certain que l'histoire, en fait, ne va pas commencer. Cela est sans
doute stupide et l'on sait avec La
Rochefoucauld qu'il
n'y a point de sots si incommodes que ceux qui ont de l'esprit. |
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20 juillet
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2000 |
C'est
ensuite. |
Vous pensez que
l'histoire va venir... |
Il
n'est pas utile de connaître
l'intrigue. |
... de
ne pas aller plus loin, de ne pas poursuivre... |
Refuser les
histoires. |
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Je suis un peu sorti
dans Vannes... |
Le
récit
s'arrête... |
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Il y a des personnages
et il y a des lieux à histoires. |
Il n'y a point de sots si incommodes que
ceux qui ont de l'esprit.
François
de La Rochefoucauld
Maximes
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... dès l'école, la
question de l'intrigue dans le récit, dans
la narration, m'avait arrêté et que l'esprit de contradiction et
d'expérimentation qui était souvent le mien m'avait conduit à vouloir
imaginer un récit sans intrigue, sans nœud, sans chute. |