Diégèse | |||||||||
mercredi 14 février 2018 | 2018 | ||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
Mes mondes | 45 | ||||||||
« Il
est dans son monde » dit-on souvent des enfants rêveurs. « Il
est dans ses
mondes » devrait-on dire. Noëmie Diégèse se fait dans son dernier
livre
tout à la fois philosophe, historienne, psychologue voire
neurophysicienne, pour tenter de cerner ce qui relève de l'image, de
l'imagination et de l'imaginaire. Se fondant sur la longue lignée de
philosophes qui prennent le parti de la perception contre la notion de
réalité, et donc pour le réel, elle arpente les mondes enfantins, les
fantasmagories adultes, en exploratrice expérimentée. Sa démonstration
est implacable : ce que nous concevons souvent de manière
binaire : le
couple réalité vs imaginaire,
serait en fait toute une bande qui s'agence en différentes mises en
tension. Il faudrait donc pour concevoir le réel et sa perception,
pouvoir se représenter le chiliogone cher à Descartes, mais un
chiliogone qui se meut à la vitesse de la lumière. Nul besoin d'être un philosophe chevronné pour lire ce livre. Noëmie Diégèse raconte des histoires et ces histoires sont tour à tour tendres et captivantes. L'auteure, qui n'en est pas à son coup d'essai, nous prend par la main pour marcher dans ses mondes. Et nous l'y accompagnons avec un plaisir non dissimulé. |
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Noëmie Diégèse | |||||||||
14 février | |||||||||
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Je ferme les yeux, les mondes ne viennent pas. | Cela n'a rien à voir. | Je regarde. | Deux pensées. | cet autre printemps | et ce n'était jamais vrai | ||||
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Il s'agit alors du temps perçu comme une dimension de l'expérience ontologique de l'homme. | mes mondes | Je me souviens d'un départ. | Et je n'écris pas. |