Diégèse | |||||||||
mardi 27 février 2018 | 2018 | ||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
La Révolte des additions | 58 | ||||||||
Si
l'on y réfléchit bien, nous avons tous fait la même expérience
que celle du personnage du dernier roman de Mathieu Diégèse : La Révolte des additions.
Quelque chose d'inattendu nous arrive. Cela peut être un événement
important, grave, douloureux ou joyeux : une rencontre amoureuse, la
maladie ou le décès d'un proche... Mais cela peut être tout aussi bien
quelque chose de très ténu et de très intime : le souffle de l'air sur
la peau, un rayon de soleil au coin d'une rue. Soudain, cet événement
qui devrait nous être surprenant nous apparaît comme nous étant
destiné, comme s'inscrivant dans notre destinée, et même davantage,
comme étant notre destin. Je reviens sur mes pas. Nous cherchons ma
souffrance. L'ocre domine lentement et tourne parfois
au vert olive dans une odeur âcre. J'ai même pensé un temps que je
n'existais
plus.
Avec une infinie délicatesse, Mathieu Diégèse accompagne ce personnage dans la découverte de ces moments, petits ou grands, où la vie tout à la fois donne le sentiment de basculer dans l'inéluctable et le prédit. Ce livre est à lire comme une méditation ou comme un roman policier. C'est au choix. |
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Mathieu Diégèse | |||||||||
27 février |
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Je reviens sur mes pas | Nous cherchons ma souffrance | la révolte des additions | mieux vaut douter de l'existence de Dieu que de douter de sa propre existence | l'ocre domine lentement et tourne parfois au vert olive dans une odeur âcre | l'absence de tendresse inouïe | ||||
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C'était écrit ! | les souffles âpres du mistral | J'ai même pensé un temps que je n'existais plus. | Je pense parfois que c'est fini | Je retiens que les saisons reviennent aux mêmes saisons, que les mêmes saisons reviennent chaque saison |