Diégèse | |||||||||
vendredi 13 juillet 2018 | 2018 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 6769 jours (7 x 967 jours) | et
son
auteur est en vie
depuis 21222
jours (2 x 34 x 131 jours) |
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ce qui représente 31,8961% de la vie de l'auteur | neuf cent soixante-sept semaines d'écriture | ||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
Une mince Différence | 194 | ||||||||
« Dans la nature,
rien
n'est semblable. Je regarde cet arbre, je considère ses feuilles, les
rameaux, les branches. Aucune feuille n'est semblable à aucune autre
feuille, aucune branche à aucune autre branche. Tout ce que j'aperçois
est différent de ce qui l'entoure.
Puis, je rentre chez moi. Je parcours des rues. Des objets manufacturés rythment le paysage urbain. Sur cet immeuble, toutes les fenêtres sont semblables, et les portes aussi. Pourtant, il n'en est rien. Il y a une mince différence ». Mathieu Diégèse sait regarder. Il sait aussi écrire. Et quand il met son regard au service de son écriture, cela donne un livre aussi délicat que ceux que l'on écrivait au dix-huitième siècle. Est-ce de la philosophie ou de la poésie ? On ne saurait en décider, et d'ailleurs peu importe. On accompagne l'auteur dans ses promenades et dans ses pensées et le monde apparait soudainement très doux et confortable. Voilà un livre de vacances, voilà un livre de repos. |
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Mathieu Diégèse | |||||||||
13 juillet |
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Et l'été, quand il fait très chaud | Nous ne compterons pas. | l'émotion esthétique | une mince différence | dans les cahots érotiques du vieux train | juste avant le train | ||||
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la boucle est bouclée | une année d'anxiété | ce peuple de bourgeois poltrons | comme on préfère la jeunesse | Je n'aime pas faire des histoires. | accepter de raconter des histoires | écrire quelque chose qui n'envisagerait pas de lecteur |