Diégèse | |||||||||
mardi
27 mars 2018 |
2018 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 6661 jours (6661 est un nombre premier) | et
son
auteur est en vie
depuis 21114
jours (2 x 33 x 17 x 23) |
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ce qui représente 31,5478% de la vie de l'auteur | |||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
Mais il y a la lumière | 86 | ||||||||
Que
faire lorsqu'il ne
reste que quelques jours ? Quelques jours de vacances ou quelques
jours
de vie... l'équation est-elle vraiment différente ? C'est que le
temps
qui reste, quoi qu'il en soit, est à la fois compté et parcelle
d'éternité. Certes, le ressort littéraire n'est pas nouveau, mais
Mathieu Diégèse, qui nous conduit encore une fois en Italie, à Vieste
exactement, renouvelle le genre. Aucune crainte, aucune nostalgie dans
ces quelques jours dans les Pouilles qui, pour le narrateur, doivent
être les derniers, rien que la conscience accrue de la vie et de
l'universalité de la vie. C'est le printemps. Il guette avec espoir la
mer dans l'attente d'une tornade. « Je regarde la mer
agitée, un peu. Parfois, sur la mer, la poésie et le printemps se
rencontrent. Derrière moi, loin de la lumière forte qui aveugle, les
genêts perdent leur couleur dans le soir de brume. Alors, il faut
écrire le texte. Mais que sais-je aujourd'hui de ton nom ? »
Ce récit est un voyage en humanité. Il invite, doucement, à considérer autrement notre condition commune, à plonger profondément dans le mystère qui allie dans notre enveloppe charnelle si fragile la mort et une étincelle d'éternité. |
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Mathieu Diégèse | |||||||||
27 mars |
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Et si je disparaissais ? | Mais il y a la lumière. | Alors, il faut écrire le texte. | la lumière forte, qui aveugle | Une tornade en Italie. | Je me promène, je m'ennuie | je passe et repasse, sans espoir, ce sont les derniers jours | |||
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Mais que sais-je aujourd'hui de ton nom ? | (production du superflu, hédonisme, développement cynique et aveugle) | Ce sont les esprits avancés de l'endroit, libres penseurs tout de paroles. | des libres penseurs tout de paroles, fort amis de l'autorité | Parfois, sur la mer, la poésie et le printemps se rencontrent | Je regarde la mer agitée, un peu | sans parvenir pourtant à garder du printemps une impression qui ne soit déjà vue | Les genêts perdent leur couleur dans le soir de brume. |