Diégèse | |
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vendredi 19 octobre 2018 | |
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2018 | ||||
ce travail est commencé depuis 6867 jours (32 x 7 x 109 jours) | et
son
auteur est en vie
depuis 21320
jours (23 x 5 x 13 x 41 jours) |
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ce qui représente 32,2092% de la vie de l'auteur | neuf cent quatre-vingt-et-une semaines d'écriture | ||||||||
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Permanence | 292 | |
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René
est gardien de
cimetière à Paris, il est gardien de cimetière parisien. Il a été muté,
à sa demande aime-t-il préciser, au Père Lachaise. Avant il était à
Montparnasse. Ce n'était pas mal, Montparnasse, mais le Père Lachaise,
c'est mieux. Il y a beaucoup plus de célébrités qui y sont inhumées,
plus de touristes, plus de vie... Plus de vie dans un cimetière, cela peut sembler paradoxal. Mais, il faut ne pas connaître les cimetières pour penser cela. C'est plein de vie, un cimetière, même dans les plus petits villages. C'est bien simple, de la vie, dans un cimetière, il n'y a que cela. Et au Père Lachaise, ce sont plus de deux millions de personnes en vie qui parcourent chaque année les allées pentues. Les morts sont très minoritaires. Mais, ce que René préfère, c'est être de permanence. Il ferme les portes. Il a le cimetière pour lui. Ce roman est une plongée dans un lieu très connu, qui demeure cependant secret. La vie quotidienne de René, comme celle de tous les gardiens de cimetière, regorge d'anecdotes amusantes ou tragiques. La mort, pour peu qu'on n'en ait pas peur, est souvent drôle et toujours fascinante. |
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Daniel Diégèse | |
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19 octobre | |
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