Diégèse | |||||||||
dimanche 16 septembre 2018 | 2018 | ||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
Le désir du rien faire | 259 | ||||||||
Gustav
Diégèse emprunte le titre de ce roman à ce cours de Roland Barthes au
Collège de France intitulé : La
Préparation du roman.
C'est le dernier cours de 1979, celui du 15 décembre. L'auteur imagine
que Barthes n'a pas été renversé par une camionnette le 25 février
1980. Il arrive à bon port au Collège de France et continue son cours.
Il annonce que ce sera le dernier. Il ne veut plus continuer. Barthes
ne fera plus rien. Il n'écrira plus rien. Ce roman est celui de la vie
de Barthes après Barthes. Quelques années après commencent les années
sida. La tentation est forte alors de recommencer à écrire. Est-il
malade ? Quand Foucault meurt, il regarde à la télévision un bref
reportage présenté par Noël Mamère qui montre la levée du corps du
philosophe à l'Institut médico-légal. Il s'amuse d'y voir Yves Montand
et Simone Signoret avec Robert Badinter et Bernard Kouchner... Il se
demande alors ce que Deleuze a bien pu raconter dans son éloge funèbre. Gustav Diégèse ne se risque pas à pasticher Barthes. Mais, le seul choix des événements sur lesquels il fait s'arrêter son personnage qui se nomme Roland Barthes est une promenade dans l'œuvre du sémiologue. Parcourir avec Barthes les années 1980 et les année 1990, voilà une belle proposition. Elle est nostalgique comme l'était Barthes lui-même, et douce aussi comme le cimetière d'Urt. |
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Gustav Diégèse | |||||||||
16 septembre |
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au contraire | leur sarabande | les muezzins chantaient | d'un coteau l'autre | Je regarderai les arbres qui s'émeuvent | L'automne n'est pas qu'une métaphore. | un axe critique | Le désir du rien faire |