Diégèse | |||||||||
mercredi 26 septembre 2018 | 2018 | ||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
Psychosomatolinguistique | 269 | ||||||||
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Nous
sommes des êtres de
chair. Nous avons un corps, et, comme le dit l'écrivain et essayiste
Gustav Diégèse dans une conversation avec l'auteure en 2012 :
« s'il y a un corps, il y a de la peur. » Et nous sommes
aussi des êtres de parole. De pensée, certes, mais ce qui fait le lien
entre la pensée et le corps, et l'on pardonnera ce truisme, c'est la
parole. Noëmie Diégèse, ethnologue tenace, explore dans ce livre les
liens millénaires tissés dans de nombreuses civilisations entre la
parole et le corps et qui constituent pour elle, qu'il s'agisse de
prières, de mantras, de formules magiques, de chants rituels ou autres
cris tribaux des formes différentes mais convergentes de
psychosomatolinguistique. Puisque l'on admet qu'il y a des paroles qui
blessent, et si l'on admet en allant plus loin, qu'il ne s'agit pas
d'une métaphore, alors on peut admettre aussi que des paroles font du
bien, voire puissent guérir. Ceci n'est pas plus absurde que cela. Attention, le livre de Noëmie Diégèse n'est pas un guide de plus de pseudo sagesse « New Age », qui offre quelques techniques de méditation ou des secrets pour guérir les brûlures. Il s'agit bien d'un voyage en humanité, dans ce qu'elle a de plus précieux et de plus secret : son humanité. |
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Noëmie Diégèse | |||||||||
26 septembre |
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Rien n'est ainsi « dernier » | Il y a aussi une voix. | une envie de partir et de repartir | pas de place suffisante pour le corps | la mauvaise enfance | psychosomatolinguistique | tout entières tournées dans le rêve | partir sans moi | trop de discours | |
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une allure empanachée | dans la fiction de son propre jugement | ce coin de pays | une froideur tranquille | il faisait plus frais | S'il y a un corps, il y a de la peur. | un événement plaisant | Et il y a de grandes satisfactions à faire le ménage. |