Diégèse | Calendrier de vie de l'auteur en spirale d'Ulam | ||||||||
mercredi 5 janvier 2022 | 2022 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 8041 jours (11 x 17 x 43 jours) | et
son
auteur est en vie
depuis 22494 jours
(2 x 3 x 23 x 163 jours) |
||||||||
ce qui représente 35,7473% de la vie de l'auteur | |||||||||
hier | L'atelier du texte | demain |
|||||||
table des correspondances | |||||||||
dans
49 jours, soit 7
semaines (72 jours), ce sera le mercredi
23
février 2022 |
et l'auteur sera peut-être en vie depuis 22543 jours (22543 est un nombre premier) | ||||||||
Il
suffit
parfois de quelques heures pour que l'impression de continuité
temporelle que l'on tâche, tant bien que mal, d'éprouver, n'ait plus
cours dans ce que l'on sauve de conscience jour après jour. Et c'est alors le souvenir. Car, le souvenir s'impose à la conscience en tant que souvenir par apparition et non par fabrication. La société humaine a d'ailleurs produit des rites sacrés ou profanes pour les susciter ou bien encore aider à leur persistance dans la mémoire. Les anniversaires, les fêtes calendaires, les cérémonies dédiées dans leur intitulé même au « souvenir ». Tout cela relève de la socialisation du souvenir. Et, s'il faut socialiser le souvenir, c'est qu'il est puissant et recèle en soi des capacités de « désocialisation ». Toute cette entreprise de socialisation tend à vouloir montrer que le souvenir est volontaire. Il ne l'est qu'en partie, car on ne se souvient jamais vraiment de ce que les convenances voudraient qu'on se souvienne. De quoi vais-je me souvenir ? De rien, peut-être. |
|||||||||
5 janvier | |||||||||
2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001 | 2000 |
2019 |
2018 |
2017 |
2016 |
2015 |
2014 |
2013 |
2012 |
2011 |
2010 |
2021 | 2020 | ||||||||
23 février | 2021 | 2020 | |||||||
2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 2015 | 2014 | 2013 | 2012 | 2011 | 2010 |
2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001 | 2000 |