Diégèse | Calendrier de vie de l'auteur en spirale d'Ulam | ||||||||
jeudi 13 juillet 2023 | 2023 | ||||||||
ce
travail est commencé depuis 8595 jours
(32 x 5 x 191 jours) |
et
son
auteur est en vie depuis 23048 jours
(23 x 43 x 67 jours) |
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ce
qui
représente 37,2917% de sa vie |
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table des correspondances / premiers premiers | |||||||||
lundi 13 juillet 1964, il y a 59 ans | l'auteur
était alors en vie depuis 1499 jours (1499 est un nombre premier), il
y a donc 21549 jours (3 x 11 x 653 jours) |
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SA JEUNE
BONNE qui n'a pas quatorze ans AVAIT ÉGORGÉ L'OCTOGÉNAIRE Le Monde - publié le 13 juillet 1964 |
Ce que je retiens, ce que cela m'évoque |
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On avait
plusieurs raisons de choisir cet article. On avait cru que
l'octogénaire en question était un homme et l'on s'étonnait qu'on
laissât une enfant au service d'un vieillard, nécessairement libidineux.
Il n'en était pas moins surprenant et coupable que l'octogénaire fût
une femme au nom de prédestination : Madame Perdu. Mais, surtout,
on ne fut pas déçu quand on lut cette phrase attribuée à l'enfant et
qui plairait à de très nombreux écrivains : « Je
m'ennuyais à Amiens et je n'avais pas envie d'aller à la mer. » Sans avoir pour autant assassiné une octogénaire abusive, et à plus de quatorze ans, c'est bien ce qu'a pu se dire un jeune Emmanuel qui ne voulait pas passer sa vie entre Le Touquet et Amiens. Certes, dans l'histoire qui nous occupe, il ne s'agissait pas du Touquet, mais de Mers-les-Bains. Ainsi l'enfant tua l'octogénaire par ennui de devoir se rendre amère à la mer à Mers. |
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13 juillet | |||||||||
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