Diégèse | Calendrier de vie de l'auteur en spirale d'Ulam | ||||||||
lundi 23
janvier 2023 |
2023 | ||||||||
ce
travail est commencé depuis 8424 jours
(23 x 34 x 13 jours) |
et
son
auteur est en vie depuis 22877 jours
(22877 est un nombre premier) |
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ce
qui
représente 36,8230% de sa vie |
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table des correspondances / premiers premiers | |||||||||
jeudi 23 janvier
1964,
il y a 59 ans |
l'auteur
était alors en vie depuis 1327 jours (1327 est un nombre premier), il
y a donc 21550 jours (2 x 52 x 431 jours) |
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POUR
« BONHEUR, IMPAIR ET PASSE », FRANÇOISE SAGAN FAIT APPEL AU
METTEUR EN
SCÈNE CLAUDE RÉGY. Le Monde - publié le 23 janvier 1964 | Ce que je retiens, ce que cela m'évoque |
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Le Monde rend
compte du changement de metteur en scène pour une pièce de Françoise
Sagan jouée à Paris au théâtre Édouard VII. | On avoue sans
crainte que l'on n'avait jamais entendu parler de cette pièce de Sagan,
mais qu'on connaissait Claude Régy pour avoir été l'un des metteurs en
scène les plus exigeants et talentueux de son temps. Son apport au
théâtre contemporain est incomparable et unanimement salué. Mais, on ne
connaissait donc, ni la pièce, ni le téléfilm réalisé par Roger Vadim
en 1977, que l'on aurait pourtant pu voir plus aisément. Si l'on veut
connaître
l'argument de la pièce, on pourra lire avec bonheur le truculent mais
sévère critique Robert
Bourget-Pailleron dans La Revue des
deux mondes. L'intrigue en est alambiquée et l'on se demande
bien
ce que Régy a pu en faire. On revient alors à Régy lui-même et à la biographie de l'homme qui a signé sa dernière pièce en 2018 avant de mourir à 96 ans en décembre 2019. Le critique Jean-Pierre Thibaudat, très respecté lui aussi, écrit alors dans sa chronique nécrologique : « Un théâtre qui, né du silence, écoute le texte et, à travers l'acteur, sonde les mystères de la présence. » On apprend aussi du même Thibaudat que Régy a commencé la mise en scène de spectacles à 29 ans après le suicide de son amant de 22 ans. On était en 1952. Alors, dans la mémoire, la voix de Duras, dont Régy a monté Les viaducs de Seine-et-Oise en 1963 retentit : « C'est par le manque que tout arrive. » |
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23
janvier |
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